Je vous partage le témoignage de Sabrina dans l'émission de France de Sophie Davant.
http://reconnaissance.ringconcept.fr/sabrina-lhistoire-continue-13012016/voilà mon commentaire :
C'est ça à peu près le quotidien. Des jours avec et beaucoup de jours sans... Ces p...... de douleurs qui ne disparaissent jamais, qui entraînent fatigue et dépression.
Pour ma part si le diagnostique a été un soulagement, je crois que je fais comme Sabrina, je n'accepte pas car pour moi ça équivaut à une défaite !
Leurs médocs en tout genre, en plus n'ont aucune efficacité sur le long terme et nous provoquent plus de misères que de bienfaits... tout ça pour masquer une certaine impuissance aussi du corps médical face à cette maladie car disons le, il n'y a actuellement en France aucun traitement.
Donc on nous donne des médocs pour les symptômes et c'est tout...
Nous sommes aussi, malheureusement dans un pays où cette maladie n'est pas reconnue alors que l'OMS l'a classée depuis 1992 comme maladie rhumatismale.
D'autres pays ont fait des recherches et ont fait avancer les choses, comme le traitement par cannabis thérapeutique synthétisé ou non et qui donne des résultats probants.
Alors les questions sont :
* pourquoi refuser de reconnaître une pathologie reconnue aussi au niveau de l'UE ?
* pourquoi refuser aux malades des traitements qui semblent fonctionner ailleurs ? (Canada, USA, Pays-Bas, Espagne, Israël, j'en oublie... et bientôt en Allemagne ?
Mieux vaut sans doute enrichir de riches labos qui proposent des médicaments à base de Morphine, de Kétamine, Tramadol autrement plus dangereux avec des effets secondaires bien plus importants et bien plus addictifs !
Mais bon on est en France et on sait pertinemment qu'on aura toujours trois trains de retard.
En attendant nous ont souffre, certains médecins se foutent carrément de notre figure en persistant à dire que c'est dans notre tête (et oui, mais ce sont les neurotransmetteurs de la douleurs qui marchent mal) et nous faire passer pour des malades psy... car ils ne connaissent pas la maladie et ne se forment, ne s'informent pas.
Bref, merci à Sabrina pour ce témoignage. J'ai cru me voir dans un miroir.